• .           Mohand poursuit ses études, et cela lui réussit bien, il rejoint l’université pour en faire du journalisme. Au départ, il voulait faire de la politique mais il a très vite déchanté. Le milieux n’est pas du tout sain en plus la politique dans notre pays est une histoire de clans. C’est une image affairiste d’une société archaïque. Lui qui est moderniste, il ne peut pas trouver sa place. En tant que journaliste alors, il aura toutes les chance de mettre tout ça a nu. Avec le temps le journalisme est devenu une passion pour lui, il a certes beaucoup souffert pour maintenir une certaine régularité dans les études mais à la fin il a eu tout ce qu’il voulait.
    .        
    Aujourd’hui, il travail dans un journal indépendant et il réside à Alger la capitale du pays. C’est la ou toutes les choses se passent aimait-il dire à ces amis, ceux qu’il a laisser di tmurth. Mais il gardait, cachée, au fond de lui une certaine nostalgie qui la toujours empêché de rompre définitivement, c’est comme une petite voie et elle lui rappelle chaque matin le village qu’il a quitté et toute les choses qu’il a raté et qu’il risque de rater encore car il n’est pas la ou il devrait être, lui suggérera t-elle.
    .        
    Aujourd’hui, c’est le week-end. Il sort de chez lui, il prend un café et une cigarette dans le petit jardin du coin. Enfin, il a toute une journée pour se reposer et recharger un peu ses batteries. Toute la matinée, sans jamais se presser, il traîne ses pied d’une vitrine à une autre, peut être se plaira t-il, il n’a jamais essayé ça. Il rentre dans une parfumerie et il essaye toutes les marques qui lui tombent sur la main sans jamais avoir l’intention d’acheter.
    ·       
    Heh, c’est amusant comme même !! se disait il.
    Une belle jeune fille se rapproche de lui, et lui demande : vous savez ce que vous cherchez Monsieur ? Sans lui laisser le temps de répondre, en lui présentant un autre parfum, elle lui dit : Tenez, donc, essayez celui-ci.
    Mohand s’apprête au jeu. Et c’est ainsi qu’il passe un bon quart d’heure entre ces deux vendeuses qui n’arrêtait pas de lui sourire. En s’apprêtant de sortir, il se sens presque gêner de ne pas avoir acheter. Ces filles étaient tellement gentilles qu’il a failli céder. Elles sont la pour vendre et elles ont bien fait leur travail, avare que je suis et j’ai failli acheter. Ce disait il.
    En sortant de la vitrine, surprise il rencontre Idir. Un ancien ami de la fac.
    ·       
    Comment va tu Idir?, Ah t’as vraiment changé !
    ·       
    Toi aussi t’as changé, Mohand. Alors que devient tu ?
    Les deux amis s’embrassent en riant. Puis Mohand lui demande : si tu n’es pas trop pressé on peut prendre un café ensemble, j’en ai déjà pris un mais j’en prendrai encore un autre avec toi avec plaisir, comme ça on parlera un peu du bon vieux temps, qui ‘est ce qui tu en dis ?
    ·       
    Ah ya Mohand, c’est avec plaisir moi aussi, même si le temps me presse je suis comme même partant.

    NB: Une petite histoire. Donnez votre avis et soyez patience. Je ne sais pas si je saurai être à la hauteur mais je vais essayer. Si vous voulez voir toutes les parties de l’histoire, cliquez sur UNE HISTOIRE ORDINAIRE sous la rubrique THEMES


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  • L’ancien : Amek it-tillidh a l’ancien t’as réglé ton problème avec les autres enseignants ?

    Le très ancien : à moitie, a vrai dire pas vraiment ?

    L’ancien : Mais qu’est ce qu’ils ont ces enseignants ? Mais pourquoi ils font cela ?

    Le très ancien : ne t’inquiète pas, tu aura tout le temps pour les comprendre. Un jour cela sera ton tour.

    L’ancien : le cheminement on le connais et immanquablement c’est le même qu’on va suivre.

    Le très ancien : mieux vaux être très bien chaussé, mon cher ami, l’usure est l’ennemi de toute volonté.

    L’ancien : on saura résister en se consolant puisque tout le monde a passé par la.

    Le très ancien : Je préfère que tout le monde ne passera pas par la, après tout il ne faut pas être fataliste.

    L’ancien : je passe au labo, j’ai un petit travail à finir. Et toi tu va ou ?

    Le très ancien : j’irai assister à une conférence sur l’œuvre de Dda Lmulud.

    L’ancien : t’as le cœur d’assister encore à une conférence?

    Le très ancien : j’ai pas marché hier d’accord mais ne pas assister encore à cette conférence c’est trop, en plus c’est vraiment instructif.

    L’ancien : qui est ce qu’il y a d’instructif, tu y croie encore ?

    Le très ancien : mais qu’est ce qui te prend ? T’as laissé ton cerveau quelque part ?

    L’ancien : Mais chaque chose à son temps.

    Le très ancien : certaines chose sont pour tout le temps.

    L’ancien : n’y recommence pas on risque de se cogner et pour rien.

    Le très ancien : rien n’est jamais pour rien. Si ta mère n’a pas dit un certain jour Oui à ton père, jamais tu ne sauras la aujourd’hui. Et Oui juste un Oui, un seul Oui à donner suite à tout un tas de choses.

    L’ancien : Dis, t’as pas tomber sur ta tête ce matin par hasard? Forcement, si non je ne vois pas pourquoi est ce que tu me raconte toutes ces bêtises.

    Le très ancien : Non toi tes tellement occupé que, toute ta vie, tu ne peut pas te consacrer une seconde pour réfléchir. Non reste ainsi léger et au premier vent tu risques d’être emporté la où jamais tu ne sauras maître de ton destin.

    L’ancien : mais toi tu sera toujours la non ?

    Le très ancien : si c’est pour qu’on se cogne les uns sur les autres, non mon cher, moi j’ai autre chose à faire.

    L’ancien : Quoi donc ?

    Le très ancien : Comprendre l’œuvre de Dda Lmulud.

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  •          Un petit garçon ordinaire, que je nommerai Mohend un joli nom très réputé, qui vie dans un petit village kabyle perché au sommet d’une colline parmi d’autres toutes dressée fièrement comme pour rendre la pareil à cette montagne majestueuse qui semble n’être la que pour demander aux autres de tenir comme elle malgré toutes les peines. La vie des montagnards est très rude, Mohand, enfant qu’il était, en subit toutes les conséquences, mais il à compris le message de sa montagne et il a décidé de tenir quelle que soit les difficultés à endurer. Les enfants de sont âge, il les aime bien, mais ne supporte pas leur attitude vindicatif. Il sont trop susceptibles à ses yeux. Cela ne l’a jamais empêché de jouer avec eux, tout en se disant qu’il n’est pas fait pour vivre ici. Déjà très jeune et il se projetait sagement et savamment dans le future, que deviendra t il ? comment vivra t il ?
             
    A l’écoule, tous les élèves de sa classe se proclament ses amies. Mais il a toujours décelé quelques jalousie dans leurs yeux et il n’est pas du tout rassuré. Contrairement à ce que tout le monde pense, il est assez réservé et ne se voyait non plus pas aussi intelligente que le lui disait ses enseignants, embêté qu’on compte beaucoup et qu’on attend autant de lui.
             
    L’enfant grandi très vite. Il commence à s’intéresser a autre chose que les étude et le jeu. Comme une découverte, il remarqua que certaines de ses copines de classe sont vraiment belles et y trouve un plaisir particulier de se retrouver seul avec l’une d’elles. celle la s’appelle Louiza, elle avait de cheveux châtain, avec des mèches assez longue qui lui tombait devant ses yeux clairs pour qu’elle passe presque tout son temps à les faire passer derrière ses oreilles pour qu’il s’y accrochent mais sans succès. Mohand ne manquera pas de remarquer le geste et il lui plut profondément. Il lui arrivais même de compter le nombre de geste quelle faisait par séance de cours. Mohand n’a jamais oser lui déclarer quoi que se soit, sauf une fois d’une manière indirect, l’enseignant de français lui demanda comme par enchantement de lui citer quelque compléments qu’un garçon adresse généralement à une jeune fille, alors le pauvre garçon, emporter par un enthousiasme magique, lui fait un vrais récital, splendide, superbe, admirable…adorable....jolie..ehh , magnifique, ehh... élégante, fascinante... toute en jetant des regards qui en disent long sur Louiza. Cette dernière, souriait et faisait mine de ne rien comprendre. Mohand se sent vraiment soulagé ce jour la et il nourrissait l’espoir de donner une suite à se début une prochaine fois. Mohand à beaucoup patienter en suite pour y trouver une occasion d’aborder le sujet avec elle, mais comme si elle le fuyait, ou contrarier par le hasard, ils se retrouvaient de plus en plus loin l’un de l’autre. Lassé d’attendre, il laissa tombé.

    NB: Une petite histoire. Donnez votre avis et soyez patience. Je ne sais pas si je saurai être à la hauteur mais je vais essayer. Si vous voulez voir toutes les parties de l’histoire, cliquez sur UNE HISTOIRE ORDINAIRE sous la rubrique THEMES.


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  • Un ami que j’apprécie toujours 

     

                Rachid, t’es quelqu’un de vraiment formidable. J’apprécie particulièrement ta compagnie. T’as été plus qu’un ami pour moi, t’as été un frère et tu l’es toujours. Je ne vais ni me lancer dans un grand discours ni multiplier les compléments, car je sais que tu n’aime pas ça, même si tu les as toujours mérité, toi tu leurs préfère l’humilité. Et c’est pour cela qu’on ne peut que t’apprécier d’avantage.

                Te voila donc, avec ces photos, présent dans mon blog. J’espère recevoir de chaqu’un de mes amis, nos amis, une photo à lui et qu’on aura tous l’occasion de les commenter.

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  • Seul ou encore mieux quand on est accompagné, la romance nous invite à déposer les armes, à observer un instant de répit. La romance c'est la légèreté des propos, la suspension de toute interrogation. Pas besoin de parler beaucoup, on a surtout envi d'écouter et de regarder, quitte à ne rien voir pourvu qu'on ressente cette présence presque mystérieuse, qui rentre en communication avec l'être le plus profond de nous même. On ressent des frissons qui traversent nos entrailles, notre vulnérabilité mise à nu, on se sent vraiment léger et fragile, notre esprit tordu se découvre une vertu, celle d'un voyageur, libéré, il se débrouille bien et cela nous inspire confiance. Nos propos ne sont plus nuancés, on dit les choses simplement, sans trop réfléchir, on les dit bien et on est bien compris comme par miracle. C'est des instants ou la magie prends tous ces droits comme par revanche. Les choses sont simplifiés et prennent une autre dimension. On découvre comme pour la première fois la pureté de l'air et la douceur du paysage. Tout drôle que cela paraît être, c'est des choses qui ne font pas rire du tout, cela est du domaine de la contemplation presque de la méditation.
    Que se soit au bord de la mer, sur les hauteurs d'une montagne ou a coté d'une rivière, la nature nous surprend toujours. Elle sait nous accompagner quant on se livre à elle, généreuse et gracieuse elle ne la rend plus belle notre romance. Elle nous la rend romantique.


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