• Mohand prend sa veste et file rapidement, en chemin un autre coup de téléphone, c’est le rédacteur en chef du bureau national du journal, demandant des nouvelles à Mohand, il lui répond qu’il est en route et qu’il le rappellerait tout de suite. A son arrivée, les forces de l’ordre sont déjà sur les lieux. Il fait le tour n’ayant pas trouvé un responsable à interviewer, il tient à avoir le témoignage de certains passants qui ont assisté à la seine. Chacun y va de sa propre version. Il décide alors de se rendre à la brigade de gendarmerie locale. Et voila qu’on l’appelle une deuxième fois du bureau du journal, cette fois c’est le directeur de la publication :
    · Mohand, tu es sur place ? t’es à Dar el beidha ? dis moi qu’est ce que t’as comme information.
    · Pour l’instant rien du tout. Ils ont ramassé les corps et bouclé les lieux c’est impossible d’accéder, mais je vais voir.
    · Tu m’emmerde avec tes réponses, Mohand, je veux savoir combien de mort et comment est ce possible un attentat pareil en plein cœur d’Alger ?
    · Tout de suite, je rassemble les informations, et tu auras ton article dans une heure.
    · Tu m’écoute ou non ? je veux savoir combien de victimes ?
    Mohand commence à perdre contrôle mais répond :
    · Il parait qu’il y a trois victimes et plusieurs blessées.
    · Fait ton travail et ne me dis plus il parait, je veux l’information et toute l’information en plus bien vérifiée et dans pas plus d’une demi heure. Si non je dépêcher un autre journaliste à ta place et tout de suite.

    Arrivé au bureau de l’officier gendarme, il a été reçu gentiment on l’invite dans un petit salon ou on lui sert une tasse du thé, et on engage une discussion. On parle de tout sauf de l’attentat, après plus d’un quart d’heure, Mohand s’impatiente, et demande directement : les agents que vous avez envoyé au lieux de l’attentat qu’est ce qu’il vous ont rapporter dans le rapport. L’officier le regarde et lui souri dans la figure et lui dis : tu n’as toujours pas terminer ton tasse du thé, jeune homme ? Et Mohand un peu énervé, il prend le verre et d’une gorgée, il prend tout ce qui l’en reste. Il pose la tasse et regarde l’officier comme pour lui dire, aller dis moi ce que t’as à me dire et laisse moi partir. L’officier le comprend et lui dis : t’as terminé, tu peut partir maintenant, et n’hésite pas à revenir la prochaine si tu veux. Mohand serre ses mouchoirs pour contenir sa colère et déserte les lieux.
    Il décide de se rendre à l’hôpital. Je ne peux tout de même pas me permettre de rater une information pareille. Constatant qu’il est un peu en retard, le temps passe très vite et tout le monde s’impatiente à la rédaction. Il décide alors de sortir un papier et de commencer à rédiger quelque chose :
    « Malgré toutes les mesures sécuritaire exceptionnelles prises ces dernières années pour protéger la capitale, des groupes terroristes très dangereux continuent toujours de sévir et ils réussissent même…. » C’est pas vrai mais qu’est ce qui m’arrive ? Se dit il. Il ne se sent pas du tout inspirer pour écrire cet article. Drôle de chose un acte terroriste peut il inspirer autre chose que la haine et le dégoût ? Et c’est exactement ce qui arrive à Mohand. Il se sent dégoûté et c’est malgré lui qu’il fait tout ça. Mais c’est mon rôle et il doit bien y avoir quelqu’un pour le faire et puis après c’est mon gagne pain, reconnaît il. En d’autres moment Mahand parlait avec beaucoup plus de considération de son métier, très souvent, très bien inspiré il a toujours été à la hauteur. Aujourd’hui c’est son jour sans et il n’a pas osé le dire au gens de la rédaction, comment le ferait il lui qui a gagné l’estime de beaucoup de monde en si peu de temps. Il a pris le risque de se mettre en épreuve tout en sachant que depuis le moment ou il a rencontrer Idir quelque chose s’est passé au fond de lui. Il ne maîtrise plus rien. Très bouleversé, il a la tête qui tourne il devient très nerveux. A peine arrivée à l’hôpital, le téléphone sonne de nouveau, c’est de la rédaction encore. Mohand, sans scrupule éteint son portable sans penser aux conséquences de son geste. Il essaye de rentrer à l’intérieur de l’hôpital, mais le portail et envahi par une masse impénétrable, certains cherche après leur cousins d’autres s’enquièrent de l’états de leur filles ou fils. Il y a des mères qui poussent de vrais gémissements et pères complètement perdus. D’autres très violents voulant entrer coûte que coûte ne s’empêchent pas bousculer tout le monde pour s’offrir un passage. C’était ainsi que Mohand qui essaye de faufiler entre la foule en criant journaliste, journaliste, se fit tirer et jeter en arrière par une bande déchaînée, et c’est alors que Mohand se découvrant les vertus d’un boxeur, il se relève et il assomme le premier qu’il trouve devant lui d’un coup de tête, un autre l’interpelle, cette fois Mohand se ressaisie et il hésite, puis toute la foule se mêle, certain pour appeler à l’ordre d’autres pour voir ce qui se passe. Un grand chahut s’installe. Une voie de loin crie de toutes ses forces en courant attention à la bombe, attention à la bombe dispersez-vous, dispersez-vous. A peine arrivée, le type sème la zizanie, et tout le monde cour dans tout les sens. Mohand tombe par terre, et on n’hésite pas à lui marcher dessus. Il perd conscience. Un bon moment après Mohand se réveil dans un lit à l’intérieur de l’hôpital. Il trouve devant lui une infirmière qui le rassure : plus de peur que de mal, lui dit-elle, t’as pas à t’inquiéter, dans un moment tu peut sortir. Il ne comprend pas ce qui lui arrive, seulement un instant après qu’il se réalise. Il se rappelle que tout a l’heure il cherchait à rentrer dans l’hôpital et le voila maintenant dedans. Je n’ai qu’à faire mon travail, alors ! Ah oui l’article, le nombre de mort….. Le service des urgences, j’y suis non !! Ah Oui une bombe il y avait une deuxième bombe. Il lève sa tête et regarde au tour de lui, c’est plein de blessés. Se sont les blessés de la bombe et je suis parmi eux. Il pousse un grand soupir et essaye de se relever. Il constate qu’il n’a pas vraiment mal. Juste quelques égratignures au niveau de la tête et des coudes. Il se met debout et se rapproche d’un blessé, tu t’es blessé à la gare ? Oui, lui répond l’autre. Il y a beaucoup de blessés ? Oui, lui répond t-il encore. Il voulait lui demander s’il y a beaucoup de morts et soudain il se rend compte qu’il est en train de faire des bêtises. Il revient s’asseoir sur son lit et réfléchi un bon moment puis décide d’appeler la rédaction. Il leur dit qu’ils n’auront pas l’article. Mais ayant déjà dépêché un autre journaliste, à la rédaction ont s’inquiète d’avantage de lui. Mais il rassure tout le monde, ne voulant pas leur dire qu’il est à l’hôpital, j’avait juste un petit malaise cette après midi, mais demain matin je serais au bureau, leur dit t-il. Demain tu nous expliqueras d’accord ? Lui demandent t-ils. Mohand ressent une inquiétude certaine cher son responsable, rassuré il se sont soulagé, il sait maintenant qu’à la rédaction il le soutiendront en cas de besoin, les paroles réconfortant qu’il vient d’entendre lui ont fait plaisir et il ne manque pas de relever le contraste entre se qu’il vient d’entendre tout a l’heure et ce dont il a eu droit longtemps auparavant dans la même journée.
    Après avoir reçu les premiers soins d’urgence, plusieurs blessés quittent l’hôpital et parmi eux Mohand. Une fois d’hors, il se rappelle qu’il n’a rien pris depuis ce matin et il fait déjà nuit.


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  • Mohand et Idir on beaucoup parlaient, ils ont passé en revue presque tout ce qu'ils ont vécu ensemble. Les anciens amis ainsi que toutes les aventures et les mésaventures des uns et des autres. Le plaisir de la rencontre se mêlait à la nostalgie d'une certaine époque révolue. Evoquer le passé n'est pas aisé pour Mohand, lui qui a été aussi malmené par son sort, des blessures anciennes refond surface. A certains moments il ne suis plus Idir qui, pris dans son élan narratif, ne remarqua presque pas que Mohand était ailleurs, lui arrivant de fixer de son regard un objet de décoration suspendu au mur derrière Idir, son esprit quitta la salle et lui faisait revivre des scènes qui l'ont torturé des années durant, des scènes qu'ils reconsidéra, suites aux révélations d'Idir. En hochant la tête comme pour se dire Ah je comprends maintenant, Idir, un peu perplexe, lui donnant une claque dans le bras lui demande de temps en temps s'il se souvient de ceci et de cela, Mohand, revenant de très loin acquiesce à chaque fois sans avoir entendu vraiment grand-chose.
    Au moment de se séparer, Mohand n'ayant presque rien raconter dit à Idir :
     Aujourd'hui, je ne suis pas vraiment dans mon assiette. On se verra une prochaine fois et on peut même dîner ensemble si tu veux ?
     Comme tu veux, pas de problèmes.
    Les deux amis se séparent, Mohand prend la mesure de sans désarrois. En voila les meilleures. Sa conscience l'a toujours desservi, il le sait déjà, mais aujourd'hui il vient d'en avoir la confirmation pour la enieme fois. Et moi qui croyait bien faire!!!, je suis vraiment un raté, se disait il.
    Encore un merveilleux week-end à passer, pensait il ironiquement. Mohand décide de rentrer chez lui. Une fois arrivé il remarqua, et c'est la première fois que cela lui arrive, que sa maison est vraiment vide. Allonger sur son lit, le fait de penser au déjeuner et tout le dérangement qui s'en suit lui pèse déjà. Il n'a pas envi de bouger, il a juste besoin de rester ainsi pour faire un peu de ménage dans sa tête. Il ferme ses yeux mes il ne dort pas, et soudainement le téléphone retentis. Mohand surprit sursaute, comme réveillé d'un rêve, il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il prend le téléphone pour répondre.
     Allo, oui ;
     Alo Mohand, c'est yacine ;
     Sallam allikoum Chikh yasine, comme ça va ? Lkhir n challah, qu'est ce qu'il y a ?
     T'as pas entendu ? il parait qu'il y a un attentat à Dar el beidha ?
     Ou à l'aéroport ?
     Non, c'est au niveau de la gare, il parait que la bombe a fait trois victimes et plusieurs blessées. Alors tu viens ?
     J'arrive tout de suite.

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  • Au café les jeunes hommes s'attablent respectueusement, et chacun d'eux demande un café. Bien serré disait Mohand au garçon qui acquiesce d'un geste de la main.
    ·Tu prends les bien serrés maintenant ? lui dit Idir.
    ·Ah Oui je ne peut pas m'en passer. Lui répond Mohand.
    Idir, avec ces yeux qui brillent appuyant par ces deux coudes sur la table comme pour se rapprocher plus près de Mohand, lui fait rappeler alors ses habitudes d'autre fois quand il prenait un lait chaux et rarement, seulement quand il veut faire un effort, un crème et en plus un crème très bien blanc. Et cela faisait sourire Mohand.
    ·Tu sais maintenant je suis journaliste, et c'est un métier très stressant. Et c'est vraiment difficile à gérer.
    ·Et ta cherché à gérer ça avec du café ?! et ne me dis pas encore que tu fumes ?!
    ·Fumer, non, mais franchement cela me tente. Tout cela me donne de la contenance, quand je suis un petit peu perdu une pose café s'impose. Mais toi tu ne m'as toujours pas dis ce que tu deviens?
    ·Voila le plus important c'est que je vais bientôt me marier. Je travail au sud dans une entreprise pétrolière, je touche bien et je veux bien me stabiliser. Voila tout est dit. Qu'est ce que tu en pense ?
    ·Franchement, la, j'avoue, je suis un petit peu surpris. Dis moi et l'heureuse élue, je la connais?
    ·Non pas du tout? En fait je ne pense pas, mais ça se peut.

    A cette réponse Mohand comprend que le cœur de son ami a basculé, il est aller chercher ailleurs, quelque chose qu'il aurai pu trouver juste à côté. Il n'a non plus pas osé de lui parler de ses autres anciennes fréquentations, il conclu tout simplement que Idir à mis un terme à la relation tumultueuse qu'il a eu avec la fameuse blonde qu'ils ont rencontrer ensemble aux archives nationales.
    Mohand et Idir on fait leur carrière universitaire ensemble. Ils ont partagé les mêmes amis. Idir était un blagueur fou, très serviable et disponible, il fréquente énormément de monde et cela n'est pas vraiment du goût de ces plus proches amis. On le trouve très extravertis, il faisait parti de ceux qui font lever la voix pour faire entendre ce qui ils ont envi de dire. Mohand trouvait ses propos très superficiels, il n'aimait pas le voire conclure très vite sans donner suite à ses idées. Et il n'a jamais manqué l'occasion de le lui rappeler à chaque fois qu'une discussion sérieuse est lancée, parce qu'ils ont l'habitude d'aborder des questions qui sont comme même d'actualité. Mais même si la discussion commence à plusieurs, ils sont toujours les deux à la terminée. Mohand trouve à chaque fois un malin plaisir à anéantir un à un tous les arguments que présente Idir, sans concessions chacun d'eux campe sur ses positions et termine remonter l'un contre l'autre, mais sans rancune le lendemains ils se retrouvent comme si rien n'y était. Au fond Idir a beaucoup de respect pour Mohand, il aurait aimé avoir une relation apaisée avec lui. Mais Mohand semble lui reprocher quelque chose qu'il n'a jamais pu avouer. Dans l'incompréhension, Idir a toujours pris l'attitude agressive de Mohand comme un manque de considération.


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  • .           Mohand poursuit ses études, et cela lui réussit bien, il rejoint l’université pour en faire du journalisme. Au départ, il voulait faire de la politique mais il a très vite déchanté. Le milieux n’est pas du tout sain en plus la politique dans notre pays est une histoire de clans. C’est une image affairiste d’une société archaïque. Lui qui est moderniste, il ne peut pas trouver sa place. En tant que journaliste alors, il aura toutes les chance de mettre tout ça a nu. Avec le temps le journalisme est devenu une passion pour lui, il a certes beaucoup souffert pour maintenir une certaine régularité dans les études mais à la fin il a eu tout ce qu’il voulait.
    .        
    Aujourd’hui, il travail dans un journal indépendant et il réside à Alger la capitale du pays. C’est la ou toutes les choses se passent aimait-il dire à ces amis, ceux qu’il a laisser di tmurth. Mais il gardait, cachée, au fond de lui une certaine nostalgie qui la toujours empêché de rompre définitivement, c’est comme une petite voie et elle lui rappelle chaque matin le village qu’il a quitté et toute les choses qu’il a raté et qu’il risque de rater encore car il n’est pas la ou il devrait être, lui suggérera t-elle.
    .        
    Aujourd’hui, c’est le week-end. Il sort de chez lui, il prend un café et une cigarette dans le petit jardin du coin. Enfin, il a toute une journée pour se reposer et recharger un peu ses batteries. Toute la matinée, sans jamais se presser, il traîne ses pied d’une vitrine à une autre, peut être se plaira t-il, il n’a jamais essayé ça. Il rentre dans une parfumerie et il essaye toutes les marques qui lui tombent sur la main sans jamais avoir l’intention d’acheter.
    ·       
    Heh, c’est amusant comme même !! se disait il.
    Une belle jeune fille se rapproche de lui, et lui demande : vous savez ce que vous cherchez Monsieur ? Sans lui laisser le temps de répondre, en lui présentant un autre parfum, elle lui dit : Tenez, donc, essayez celui-ci.
    Mohand s’apprête au jeu. Et c’est ainsi qu’il passe un bon quart d’heure entre ces deux vendeuses qui n’arrêtait pas de lui sourire. En s’apprêtant de sortir, il se sens presque gêner de ne pas avoir acheter. Ces filles étaient tellement gentilles qu’il a failli céder. Elles sont la pour vendre et elles ont bien fait leur travail, avare que je suis et j’ai failli acheter. Ce disait il.
    En sortant de la vitrine, surprise il rencontre Idir. Un ancien ami de la fac.
    ·       
    Comment va tu Idir?, Ah t’as vraiment changé !
    ·       
    Toi aussi t’as changé, Mohand. Alors que devient tu ?
    Les deux amis s’embrassent en riant. Puis Mohand lui demande : si tu n’es pas trop pressé on peut prendre un café ensemble, j’en ai déjà pris un mais j’en prendrai encore un autre avec toi avec plaisir, comme ça on parlera un peu du bon vieux temps, qui ‘est ce qui tu en dis ?
    ·       
    Ah ya Mohand, c’est avec plaisir moi aussi, même si le temps me presse je suis comme même partant.

    NB: Une petite histoire. Donnez votre avis et soyez patience. Je ne sais pas si je saurai être à la hauteur mais je vais essayer. Si vous voulez voir toutes les parties de l’histoire, cliquez sur UNE HISTOIRE ORDINAIRE sous la rubrique THEMES


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  •          Un petit garçon ordinaire, que je nommerai Mohend un joli nom très réputé, qui vie dans un petit village kabyle perché au sommet d’une colline parmi d’autres toutes dressée fièrement comme pour rendre la pareil à cette montagne majestueuse qui semble n’être la que pour demander aux autres de tenir comme elle malgré toutes les peines. La vie des montagnards est très rude, Mohand, enfant qu’il était, en subit toutes les conséquences, mais il à compris le message de sa montagne et il a décidé de tenir quelle que soit les difficultés à endurer. Les enfants de sont âge, il les aime bien, mais ne supporte pas leur attitude vindicatif. Il sont trop susceptibles à ses yeux. Cela ne l’a jamais empêché de jouer avec eux, tout en se disant qu’il n’est pas fait pour vivre ici. Déjà très jeune et il se projetait sagement et savamment dans le future, que deviendra t il ? comment vivra t il ?
             
    A l’écoule, tous les élèves de sa classe se proclament ses amies. Mais il a toujours décelé quelques jalousie dans leurs yeux et il n’est pas du tout rassuré. Contrairement à ce que tout le monde pense, il est assez réservé et ne se voyait non plus pas aussi intelligente que le lui disait ses enseignants, embêté qu’on compte beaucoup et qu’on attend autant de lui.
             
    L’enfant grandi très vite. Il commence à s’intéresser a autre chose que les étude et le jeu. Comme une découverte, il remarqua que certaines de ses copines de classe sont vraiment belles et y trouve un plaisir particulier de se retrouver seul avec l’une d’elles. celle la s’appelle Louiza, elle avait de cheveux châtain, avec des mèches assez longue qui lui tombait devant ses yeux clairs pour qu’elle passe presque tout son temps à les faire passer derrière ses oreilles pour qu’il s’y accrochent mais sans succès. Mohand ne manquera pas de remarquer le geste et il lui plut profondément. Il lui arrivais même de compter le nombre de geste quelle faisait par séance de cours. Mohand n’a jamais oser lui déclarer quoi que se soit, sauf une fois d’une manière indirect, l’enseignant de français lui demanda comme par enchantement de lui citer quelque compléments qu’un garçon adresse généralement à une jeune fille, alors le pauvre garçon, emporter par un enthousiasme magique, lui fait un vrais récital, splendide, superbe, admirable…adorable....jolie..ehh , magnifique, ehh... élégante, fascinante... toute en jetant des regards qui en disent long sur Louiza. Cette dernière, souriait et faisait mine de ne rien comprendre. Mohand se sent vraiment soulagé ce jour la et il nourrissait l’espoir de donner une suite à se début une prochaine fois. Mohand à beaucoup patienter en suite pour y trouver une occasion d’aborder le sujet avec elle, mais comme si elle le fuyait, ou contrarier par le hasard, ils se retrouvaient de plus en plus loin l’un de l’autre. Lassé d’attendre, il laissa tombé.

    NB: Une petite histoire. Donnez votre avis et soyez patience. Je ne sais pas si je saurai être à la hauteur mais je vais essayer. Si vous voulez voir toutes les parties de l’histoire, cliquez sur UNE HISTOIRE ORDINAIRE sous la rubrique THEMES.


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